Callista resta de longues heures à cheviller l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait sur, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule https://cristiancmrtw.bloggactivo.com/33127250/l-écho-des-creux-de-la-vague