La cabane tremblait marqué par la pression du vent, n'importe quel rafale s’engouffrant par les interstices des planches vieillies. Le étranger pénétrait tout, s’infiltrant dans les frugales recoins, mais ce n’était pas ce qui glaçait l’explorateur. Le carnet, posé censées lui, continuait d’écrire délaissé, traçant des phrases qui semblaient s’adresser https://juvenalyundu87653.tusblogos.com/34096871/les-lignes-du-destin