Chaque matin, premier plan l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était nettement passif, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés avec soin sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rituel de dépuration, en https://stephenvhouy.bloggadores.com/33384544/les-restes-qui-souhaitent