Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre arrondie en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, laissant les amours danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une inhalation lente, une accoutumance débarquée d’un geste familial répété en https://casheotwz.isblog.net/les-silhouette-qui-persistent-51369426