1

La matière qui satisfait

News Discuss 
Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre arrondie au foyer de son fabrique. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, laissant les soifs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une souffle lente, une routine née d’un fait ancestral répété constamment. Les morceaux, https://marconsvxw.blogdon.net/les-lignes-diminués-50284840

Comments

    No HTML

    HTML is disabled


Who Upvoted this Story